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De la jungle d’Amazónico à la dolce vita monégasque du Maona

Cet été, la SBM propose plusieurs ambiances et concepts, qu’ils soient gastronomiques ou festifs.

Pour l’ouverture de son nouveau Amazónico, place du casino, la SBM avait tapé fort. Près de 800 convives avaient découvert en avant-première la jungle du restaurant lounge et son speakeasy.  De Mauro Colagreco à Youri Djorkaeff.  « Amazónico est situé sur l’un des plus beaux rooftops et offre l’une des plus belles vues au monde », estime le président-délégué de la SBM, Stéphane Valeri. Sa carte qui puise dans le répertoire culinaire des régions de l’Amazonie, son escalier original à l’imprimé léopard et son Club aux sons « électro-picaux » (signature musicale de l’enseigne) ont fait leur preuve durant le Grand Prix et n’a pas désempli…

Vu le nombre étonnant de concepts proposés cet été – nouveaux ou pas -, la clientèle de la SBM pourra varier les plaisirs. Côté gastronomique, le goût de la nouveauté sera… japonais.Après le succès de leur première adresse parisienne, auréolée de deux étoiles, au Pavillon Ledoyen, Yannick Alléno et le Maître Sushi Yasunari Okazaki ont ouvert L’Abysse Monte-Carlo à l’Hôtel Hermitage afin de « sublimer l’art du sushi ». Poissons de printemps, d’été, d’automne et d’hiver… Le Chef Yasunari Okazaki fait évoluer la carte en fonction des saisons et des prises des pêcheurs. « L’Abysse à Paris est le seul japonais en Europe à avoir obtenu deux étoiles au Guide Michelin. Nous espérons à terme avoir aussi une ou deux étoiles en Principauté », a annoncé Stéphane Valeri.  La Table de Marcel au nouveau Blue Bay-Marcel Ravin promet elle aussi une gastronomie durable.  Dans cette « case créole moderne » selon l’expression du chef doublement étoilé, le décor évoque les salines de la Martinique, ses coraux et fonds marins… En plus des plats signatures du chef antillais, comme l’Œuf Monte-Carlo, manioc truffe maracuja (fruit de la passion en créole) ou le Lacté d’oseille Buckler servi dans une calebasse, certaines nouveautés ont déjà séduit les habitués comme le poulet Madras « Boucan d’Enfer » ou la Belle raviole de langouste, curry eau de coco, patate douce. Le chef Ravin – qui propose de la snackonomie au MadaOne – signe d’ailleurs aussi désormais la carte d’Elsa au Monte-Carlo Beach. Niché au cœur de la pinède, classée « refuge LPO », le Club La Vigie revient quant à lui également pour l’été avec une nouvelle offre gastronomique du Chef Pascal Garrigues, y compris le soir (Catalane de homard, Trilogie de poissons crus, ou le Tomahawk de bœuf Black Angus, sauce Salmoriglio). Un service de bateaux-navettes, bien pratique, est mis gracieusement à disposition depuis le port Hercule.

Bientôt le retour du Mood’s

Côté festif, en cette année des 50 ans du Jimmy’z,la SBM revendique un « Art de la fête ». Billionaire, le concept de soirée créé par Flavio Briatore, reprend ses quartiers d’été à la Salle des Etoiles pour 25 soirées.Dîner gastronomique, danseurs, chanteurs, acrobates, dont certains, anciens artistes du Cirque du Soleil, détiennent des records au Guinness World Records… « Ce concept de soirée global et festif, déjà présent à l’international, offre une facette originale de l’art de la fête façon Monte-Carlo », a commenté Stéphane Valeri, Président-Délégué de la Société des Bains de Mer. Juste à côté, le COYA Monte-Carlo réaménagé avec de nombreux objets d’art, pour la plupart chinés au Pérou, propose une terrasse ouverte sur la mer, dans le prolongement de la pergola pour tester la Street Food péruvienne de la cheffe Victoria Vallenilla et son Pisco Bar.

Et comme l’art de la fête ne date pas d’hier, Maona Monte-Carlo réinvente les heures légères et insouciantes des années 1960. Lorsque le cabaret éponyme, qui symbolisait une dolce vita monégasque, accueillait Joséphine Baker, Omar Sharif, Liza Minnelli ou encore Arthur Ashe… Ambiance rétro garantie avec le Bar Sauvage (et ses créations originales telles que le Negroni soufflé au Mozart dark chocolate et riz soufflé) ou la Tam-Tam Room…

Enfin, avis aux amateurs du Mood’s, la fête continuera après l’été. La réouverture du cabaret est annoncée officiellement « au plus tard pour la fin novembre », sous l’appellation New Moods. Probablement avec un concept construit autour de musique “live” et d’un comedy club. «Nous voulons conserver une entrée bon marché, pour en faire un lieu populaire, fréquenté par tous, y compris la jeunesse. Ce n’est pas sur les entrées que nous pourrons équilibrer nos comptes, mais sur les privatisations pendant le Grand Prix, pendant les Masters de tennis, pendant le Monaco Yacht Show, pour des congrès… Elles nous permettront, nous l’espérons, de ne pas perdre d’argent, comme ce fut le cas avec le Moods, dont le déficit dépassait un million d’euros après une année d’exploitation » rappelle Stéphane Valeri.

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